14 mars 2015
du-sexe-gay
Enfin. Étrange, ce petit train vide de tout être humainMarrant Plaisant Je peux me lever, faire ce que je veuxFaire le con Je nettoie la vitre poussiéreuse avec ma sueur Qui s’évapore instantanément Il fait si chaud Mais la fin de journée arrive Le soleil commence à rougeoyer La douceur de soirée d’été va arriver Je me, telephone gay, rendors, bercé par les à-coups du wagon Le train allait repartir Je me suis réveillé juste à temps J’ai pris mon sac, à l’arrache, et j’ai sauté du train J’ai oublié ma bouteille d’eau Pas grave Ce doit être lui, Francis Je l’ai jamais vu, mais Charles me l’avait bien décrit, semble t-il La cinquantaine, grande moustache, gros ventre, visage tout rouge.
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